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18 avril 2011 1 18 /04 /avril /2011 09:13

WOODSJames Woods fêtant aujourd'hui ses 64 ans, il était grand temps de l’inclure dans notre rubrique des acteurs-culte de « WWW ». Happy birthday, James.

Il a tout de suite été bon, dès sa première apparition dans « LES VISITEURS » d’Elia Kazan. Et il le reconnaît d'ailleurs lui-même, avec une touchante modestie dans l’ouvrage « CAUGHT IN THE ACT ». James Woods y tient un rôle compliqué de balance pleine d’excellentes raisons, comme dans tous les films de Kazan. Son visage grêlé, creusé, son regard fixe et intelligent, l’ont immédiatement sorti de l’anonymat. WOODS (1)

Woods a connu une période de seconds rôles : le voyou motorisé dans « LA FUGUE », le boy friend vite largué de « NOS PLUS BELLES ANNÉES », un des patrouilleurs de « BANDE DE FLICS ! », avant d’éclater dans toute la splendeur de ses névroses dans « TUEUR DE FLICS » où rasé à blanc, il incarne un voyou hystérique à donner la chair de poule. Il faut l’avoir vu obliger son complice soumis, à lui faire une fellation en prison, pour saisir toute l’ignominie dont peut être capable Woods.

On le revoit dans des personnages tourmentés : le directeur de chaîne sadomaso de « VIDÉODROME », le viet-vet suspect mais inoffensif dans « L’ŒIL DU TÉMOIN », le désenvoûteur fanatique de « SPLIT IMAGE », le malfrat paranoïaque de « CONTRE TOUTE ATTENTE » et surtout Max, le gangster qui trahit ses meilleurs amis dans « IL ÉTAIT UNE FOIS EN AMÉRIQUE », où son face-à-face final avec De Niro est un chef-d'œuvre en soi et WOODS (2)donne la chair de poule. Woods accède aux rôles en vedette grâce à « SALVADOR », où il est extraordinaire en reporter volubile. On le revoit de plus en plus affuté dans « PACTE AVEC UN TUEUR » en flingueur avide de reconnaissance, dans « COP » en flic obsessionnel, « ÉTAT DE CHOC » en yuppie détruit par la cocaïne, « COUPABLE RESSEMBLANCE » en avocat baba-cool, « LA MANIÈRE FORTE » en flic enragé, où il s’autopastiche avec humour. Il est moins convaincant dans « FRANC-PARLER » en journaliste et « LE GRAND DÉFI » en arnaqueur. Mais… Nobody’s perfect.

James Woods revient inexplicablement aux seconds rôles avec le procureur dans une séquence de « CHAPLIN », le bad guy ricanant dans « GUET-APENS », le mercenaire sardonique de « L’EXPERT » où pas dirigé, il est en roue-libre, le proxénète drogué de « CASINO », le conseiller paranoïaque de la Maison Blanche dans « CONTACT », le bras-droit machiavélique de « NIXON », l’assassin raciste de « LES FANTÔMES DU PASSÉ » où il passe les trois-quarts du film sous un maquillage au latex lui faisant prendre trente ans.

Woods revient sur le devant de la scène avec le chasseur de buveurs de sang dans « VAMPIRES », le braqueur drogué dans « ANOTHER DAY IN PARADISE » (qu’il produit lui-même), le rédac-chef hostile dans « JUGÉ COUPABLE », le colonel gay dans « LE DÉSHONNEUR D’ELISABETH CAMPBELL », le père trop strict de « VIRGINS SUICIDE », celui de Drew Barrymore dans « ÉCARTS DE CONDUITE », le chirurgien mondain de « JOHN Q. ».

WOODS (3)

Il apparaît brièvement en exorciste dans « SCARY MOVIE 2 », joue un savant nazi à accent dans « MON COPAIN MAC » et un producteur de disques assassiné dans « BE COOL ». Pas vraiment ce qu’il a fait de meilleur…

Woods prête sa voix à la Mort dans « HERCULES » ainsi qu’à un général dans « FINAL FANTASY », à une bébête dans « STUART LITTLE 2 ».

À la TV, on le voit dans « FOSTER & LAURIE » en drogué, « KOJAK » en voleur de bijoux, « THE ROOKIES » en violeur, « RAID SUR ENTEBBÉ » en commando, « BADGE OF THE ASSASSIN » en juge intègre, « PROMISE » en schizo associal, « MY NAME IS BILLY W. »WOODS (4) où il est créateur des Alcooliques Anonymes, « IN LOVE AND WAR » en prisonnier au Vietnam, « WOMEN & MEN » dans le rôle d’Hemingway, « THE BOYS » en scénariste intoxiqué. Il tient le rôle-titre de « CITIZEN COHN » l’ignoble procureur maccarthiste, apparaît dans un « DREAM ON » en avocat frimeur, « JANE’S HOUSE » en veuf, « CURSE OF THE STARVING CLASS » en fermier ivrogne, « INDICTMENT : THE McMARTIN TRIAL », en avocat. Il est en contremploi dans « THE SUMMER OF BEN TYLER » en honnête avocat du Sud, campe un photographe controversé dans « DIRTY PICTURES » et retrouve sa routine dans « KILLER : A JOURNAL OF MURDER » en serial killer. Il tient le rôle-titre du maire dans « RUDY : THE RUDOLF GIULIANI STORY ». Woods apparaît en professeur atteint d’un mal dégénératif dans un « URGENCES », et tourne sa première série en vedette, en tenant un rôle d’avocat implacable dans « SHARK », hélas un peu trop inspirée de « DR. HOUSE » pour durer.

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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 18:44

WUSA« WUSA » est un film politique, un pamphlet dénonçant la dérive fasciste de l’Amérique de Nixon à travers le destin de quelques laissés-pour-compte du rêve américain, dans une NewWUSA (1) Orleans gangrénée par la corruption et le racisme.

Sur le papier, c'est intéressant, d’autant que ce fut écrit « à chaud », sur pellicule, c'est tout autre chose !

Stuart Rosenberg est un réalisateur intelligent mais coutumier d’un cinéma statique, voire léthargique. Il soigne l’image, utilise de belles focales, exploite très bien ses décors, mais néglige complètement le rythme et l’émotion. Sa direction d’acteurs est WUSA (2)complaisante et peu énergique. Ainsi, les monologues de Paul Newman (également producteur du film !) ressemblent-ils souvent à des exercices d’impro à l’Actors Studio et plombent-ils gravement certaines scènes. Ce n’est pas le Newman qu’on préfère, même s’il était courageux de sa part de tenir ce rôle d’ivrogne détestable, qui vend son âme au plus offrant. Joanne Woodward elle, est heureusement formidable en paumée au visage balafré, à deux doigts de l’abime. Sa dernière scène en prison est extraordinaire. C'était vraiment un beau couple de cinéma. Autour d’eux, d’excellents acteurs comme Laurence Harvey, Anthony Perkins – bègue, comme d'habitude – ou Pat Hingle toujours remarquable dans les rôles de fachos. Cloris Leachman sort du rang dans un petit rôle de logeuse infirme. Et on remarque le vétéran Bruce Cabot, qui caricature méchamment son vieux copain ‘Duke’ Wayne, dans un rôle de vieille star de western assistant au congrès d’extrême-droite.

WUSA (3)

Ce congrès est d'ailleurs la seule vraiment bonne scène de « WUSA », une sorte de carnaval haineux et grotesque, qui s’achève en apocalypse : comme si l’Amérique se décomposaitWUSA (4) sur pied.

« WUSA » n’est pas un navet, c'est un film raté : nuance ! S’il est d’un ennui assez prodigieux, il n’en demeure pas moins bien intentionné et manifestement sincère dans son propos. Peut-être aurait-il fallu plus soigner la forme pour faire mieux passer le fond ? Le B-A BA, quoi…

À noter que lors du film précédent qu'il tourna pour Rosenberg, « LUKE LA MAIN FROIDE », Newman s’entendait dire cette phrase entrée dans les annales : « Ce que nous avons là est un échec de communication ». Aussi quand au début du film on lui demande ce qu'il fait dans la vie, il répond : « Je suis un communicateur ». Le clin d’œil est plaisant…

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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 11:27

BOUCANIER (1)En 1938, Cecil B. DeMille réalisait « LES FLIBUSTIERS ». Vingt ans plus tard, il allait mettre le remake en chantier, quand sa santé l’en empêcha. Il délégua alors la réalisation à son gendre, Anthony Quinn réalisateur débutant, qui tenait déjà un petit rôle dans le filmBOUCANIER original. C'est ainsi que fut produit « LES BOUCANIERS », superproduction aujourd'hui à peu près oubliée.

Le film se situe à New Orleans en 1814, alors que les Anglais vont attaquer la ville. Le général Jackson va demander l’aide du très populaire corsaire Jean Laffite, pour repousser l’ennemi.

Le casting en impose : Yul Brynner dûment perruqué incarne Laffite, aux côtés de la grande Claire Bloom, Charles Boyer, Lorne ‘Bonanza’ Greene, Inger Stevens, E.G. Marshall, Henry Hull, Ted de Corsia, John Dierkes, les fordiens Henry Brandon, Woody Strode (dans le rôle de ‘Toro’ !), Jack Pennick et Mike Mazurki, les futures stars de ‘spaghetti western’ Ty Hardin et Gordon Mitchell. Charlton Heston apparaissait brièvement en général Jackson, un rôle qu'il avait déjà tenu dans « LE GÉNÉRAL INVINCIBLE », six ans plus tôt. Et Mr DeMille présentait le film dans le prologue.

Ajoutons que la BO est l’œuvre d’Elmer Bernstein et on ne comprend vraiment pas pourquoi « LES BOUCANIERS », même s’il n’a pas la réputation d’être un chef-d’œuvre, est introuvable en DVD à travers le globe.

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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 08:07

Puisque ce sont les vacances de Pâques, « WWW » va les fêter à sa façon. À travers un de ses acteurs-culte : Robert De Niro.

Le problème avec les longues et prolifiques carrières comme celle de Mr De Niro (prochain président du Festival de Cannes, by the way), c'est qu'elles finissent par se nourrir d’elles-mêmes. Surtout, comme c'est le cas avec ‘Bob’, quand l’acteur a tourné ses meilleurs films en début de parcours.

On se souvient que De Niro faisait un clin d’œil appuyé à son impro « You’re talking to me ? » de « TAXI DRIVER » dans le navrant « LES AVENTURES DE ROCKY ET BULLWINKLE ». Et qu'il s’en prenait à un ‘Taxi driver’ dans le récent « MACHETE ».

Parfois, l’acteur tourne tellement, qu'il se retrouve à rejouer les mêmes situations sans que ça ne soit forcément volontaire.

DE NIRO Pâques

Personne n’a oublié une des meilleures scènes de « ANGEL HEART », pendant laquelle De Niro explique à Mickey Rourke que dans certaines religions, l’œuf symbolise l’âme humaine… avant de croquer voracement un œuf dur.

Comment ne pas y penser, quand dans « STONE », Milla Jovovich offre un œuf de Pâques (nous y voilà !) au même Bob, comme Ève poussa Adam à mordre dans le fruit défendu ? Et que fait-il, le Bob ? Il croque dedans, évidemment.

DE NIRO Pâques (1)

Clin d’œil ? Coïncidence ? Boucle infernale ? Il faudra poser à la question à M. De Niro…

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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 07:22

Acteur anglais rugueux et viril, Sean Bean se fait remarquer dans de grosses productions comme « JEUX DE GUERRE », « GOLDENEYE » ou « RONIN » dans des rôles ambigus. Le personnage de Boromir dans la trilogie du « SEIGNEUR DES ANNEAUX » fait connaître son nom, mais il se cantonne plutôt à un cinéma populaire à petit budget qu'il alterne avec les blockbusters U.S.

Il a fière allure dans « TROIE » ou « BLACK DEATH » et se montre excellent en ‘vigilante’ dans « OUTLAW ». Aurait un peu tendance à tourner n'importe quoi, comme l’inutile remake de « HITCHER » où il n’a pas fait oublier Rutger Hauer dans l’original.

Aujourd'hui, il fête ses 51 ans. Happy birthday, Sean.

BEAN anniv

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 18:14

Une grande partie du plaisir qu’on a à revoir les vieilles séries TV des années 50 ou 60 vient souvent de ses ‘guests’, de grands comédiens à l’aube de leur carrière qu’on (re)découvre dans leur période d’apprentissage.

« THE RUN TO TUMAVACA », épisode de la 1ère saison de « LARAMIE » signé Lesley Selander, accueille ainsi rien moins que Gena Rowlands, dans un personnage relativement complexe pour ce genre de film.

LARAMIE rowlands

Elle joue Coral, la femme d’un rancher qui fuit le domicile conjugal en volant 65.000 $ et en blessant son mari. Elle tombe par hasard – qui fait drôlement bien les choses, quand même ! – sur Robert Fuller dont elle fut la maîtresse, qu'elle convainc de l’escorter jusqu'au Mexique. Ils sont pris en chasse par un trio de chasseurs de primes. Évidemment, Fuller se laisse re-séduire par Gena, c'est humain. Mais celle-ci s’avèrera être une croqueuse d’hommes sans scrupules partie rejoindre un amant. Jeune et belle, avec son œil de chat et son sourire enjôleur, l’égérie de John Cassavetes donne une belle épaisseur à ce personnage de garce opportuniste et perfide.

Parmi les seconds rôles, on aperçoit Robert J. Wilke en ‘bounty hunter’ ricanant.

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 08:25

Peter Mark Richman est typiquement l’acteur dont tout le monde connaît le visage sans savoir comment il se nomme. Il a tout de même tourné 155 (télé)films, le bougre !

À la TV, il a joué un ex-avocat marron travaillant pour l’Oncle Sam dans la série « CAIN’S HUNDRED », on l’a vu en méchant dans plusieurs « MISSION : IMPOSSIBLE ». Il n’a curieusement que très peu travaillé pour le cinéma. À peine s’en souvient-on dans « Y A-T-IL UN FLIC POUR SAUVER LE PRÉSIDENT ? ».

Aujourd'hui, il fête ses 84 ans. Et il tourne toujours. Happy birthday, Peter.

RICHMAN anniv

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 08:01

HONEY POT (1)On peut tout à fait comprendre qu’après le traumatisant tournage de « CLÉOPÂTRE » et le (beau) film-monstre qui en résultat, le délicat Joseph L. Mankiewicz ait attendu quatre ans pour revenir derrière une caméra. Et qu'il n’ait ensuite tourné que trois films, tousHONEY POT intimistes (même son western !), pour finir avec « LE LIMIER » : deux personnages dans une maison !

« GUÊPIER POUR TROIS ABEILLES » est tiré d’une pièce, elle-même inspirée de « VOLPONE ». C'est une sorte de ‘whodunit’ ultrasophistiqué situé dans un palazzo vénitien, où un milliardaire aidé d’un comédien jouant son factotum, réunit HONEY POT (2)trois de ses ex. Une farce ? Un complot ? Un piège infernal ? Les choses se compliquent quand l’une des invitées est retrouvée morte…

Extrêmement bien produit et réalisé, d’une folle élégance, le film est – par essence – très bavard, les dialogues fusent à une vitesse vertigineuse, les sous-entendus abondent, les bons mots à double-sens s’enchaînent. Pour être parfaitement honnête, cela peut finir par lasser l’attention, d’autant que si Rex Harrison trouve un de ses meilleurs rôles et accapare l’écran avec gourmandise, Cliff Robertson est falot et décevant dans le rôle de McFly (aka ‘Mosca’) son ambiguHONEY POT (3) complice. Le rôle aurait au moins nécessité l’insolence et l’ironie d’un Michael Caine. Du cast féminin, se détache nettement la jeune Maggie Smith, excellente en quasi-vieille fille aux jambes de rêve et à la candeur trop belle pour être sincère. 

Long et lent, le film réserve néanmoins des instants délicieux comme cette séquence au domicile du flic (Adolfo Celi) qui regarde un épisode de « PERRY MASON » doublé en Italien chez lui, en famille. En deux minutes, Mankiewicz exprime sans aigreur toute sa détestation de la télé.

À noter que lors de la scène où Maggie Smith suprend Harrison en train de danser, la doublure de l’acteur est tellement identifiable, que cela frise le carton rouge !

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15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 20:11

Là, le coup à l’estomac est tel que Charley, la mascotte habituellement préposée à annoncer les résultats de « WWW » dans le Top des Blogs d’Overblog, doit passer le relais à une autre mascotte : Klaus. Charley n’est pas suffisamment expressif !

En effet, après avoir perdu quelques placettes il y a un mois et s’être retrouvé à la 479ème place (tellement insignifiant qu’on avait même oublié d’en parler !), voilà que « WWW » se retrouve rétrogradé à la… 573ème position !

TOP BLOGS 573

Alors d'accord, Klaus a l’habitude d’exprimer ses sentiments avec peu de sobriété, mais là, franchement… ÇA SE COMPREND ! Sous le choc, il a même fait un saignement de nez, le pauvre…

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15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 17:45

LARAMIE bronson (1)« STREET OF HATE » est un épisode de la 1ère saison de « LARAMIE » dont la ‘guest’ principale fut Charles Bronson. Après avoir tué son meilleur ami dans une bagarre, celui-ci passe cinq ans au pénitencier et revient en ville. Haï de tous, rejeté par son père adoptif (mais vrai père de la victime... Vous suivez ?), Bronson est recueilli par les héros de la série et se fabrique une cabane, torse-nu. Mais il est harcelé par le contremaître du vieil homme qui le provoque pour l’obliger à sortir son arme et briser ainsi sa liberté conditionnelle. Heureusement, la femme qu'il aime attend toujours Bronson et le père de celle-ci, le ‘doc’ ivrogne du village pourra témoigner de son innocence, avec cinq ans de retard. Mieux vaut tard...

LARAMIE bronson

L’épisode n’a rien d’exceptionnel, mais offre à Bronson un personnage de paria solitaire comme il en a beaucoup joué à la TV. Il exécute lui-même quelques bagarres bien réglées, expose ses célèbres muscles et affronte le ‘bad guy’ dans le duel le plus foireux de sa carrière : désarmé d’un coup de revolver, il est ensuite blessé au bras et ne doit la vie sauve qu’à l’intervention de John Smith. On rêve ! À noter qu'il a une scène de saloon, où il est bousculé par le méchant, qu'il rejouera beaucoup par la suite que ce soit dans « BONANZA », « LE VIRGINIEN » ou « LES COLLINES DE LA TERREUR ». Morale : il devrait éviter les saloons, Charley…

Parmi les seconds rôles, on aperçoit – c'est vraiment le mot – Richard Farnsworth, futur héros de « UNE HISTOIRE VRAIE » de David Lynch, en homme de main imbécile.

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