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14 décembre 2012 5 14 /12 /décembre /2012 18:38

Il a certainement fallu une bonne dose de nostalgie aux concepteurs de « THE HOLLYWOOD SIGN » pour accoucher d’un tel film. Et il en faut plus encore pour en subir le visionnage jusqu'au bout. Pourtant, le point départ semblait amusant et le castingHLWD SIGN (1) attrayant pour le cinéphile un tant soit peu lettré.

Hélas ! Cette copro allemande échoue sur tous les tableaux. Et l’histoire de ce trio d’acteurs has-beens, s’embarquant dans le braquage d’un butin mafieux est une totale catastrophe. C'est mal écrit, mal filmé, d’une inertie ahurissante. Le scénario ne comporte pratiquement aucun ressort dramatique et la chute, qui se voudrait une mise en abyme, ne fait qu’enfoncer le clou.

Alors pourquoi s’infliger ces interminables minutes de souffrance sur pellicule ? Parce qu’envers et contre tout, on continue d’aimer le trio d’acteurs. Même si voir des has-beens jouer des has-beens n’est pas spécialement amusant.

En tête, Tom Berenger qui se traîne un petit air triste pendant tout le film, suivi de Rod Steiger en roue-libre, jouant une ex-star tonitruante. Et enfin, Burt Reynolds. Faut-il qu’on les aime ces trois-là, pour ne pas jeter son DVD contre un mur, après les avoir vus se vautrer piteusement dans une séquence abominable, où déguisés en flics, ils vont interroger les malfrats dans leur villa ! C'est long, pas drôle, embarrassant, ça s’enlise à vue d’œil et tout le métier du trio ne peut rien pour sauver les meubles. Le film ne s’en remet d'ailleurs pas.

HLWD SIGN

Mais pour rester sur une note positive, souvenons-nous de la seule bonne scène : celle où Reynolds le visage émacié par les liftings, pleure en visionnant tout seul dans le noir, une vieille VHS de « NAVAJO JOE », où on le voit jeune et musclé, caracoler à cheval à Almeria. C'est un moment de vérité qui cueille complètement et qui donne un semblant de profondeur au film tout entier.

À noter que Whoopi Golberg apparaît deux secondes dans une séquence d’enterrement vers le début et que le film fut récemment exploité en Blu-ray en France sous le titre « BRAQUAGE À L’AMÉRICAINE ».

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24 février 2012 5 24 /02 /février /2012 19:18

« QUINT ASPER COMES HOME » est le premier épisode de la série « GUNSMOKE » auquel participa le jeune Burt Reynolds dans le rôle de Quint Asper. Il devait en tourner 49 autres sur une période de trois ans.

Réalisé par Andrew V. McLaglen, le début du scénario annonce celui de « NEVADA SMITH » : un métis voit son père assassiné par des blancs qu'il tue sans pitié. Il ramène sa mère comanche parmi les siens et devient lui-même un membre de la tribu, particulièrement assoiffé de vengeance. Mais quand le marshal Matt Dillon (James Arness) lui sauve la vie, le jeune homme bascule du côté « visage pâle » de sa nature profonde.

GUNSMOKE reynolds

Les 52 minutes sont bien écrites et adroitement troussées. On peut même y déceler en filigrane un discours antiraciste et fustigeant la loi du lynch. On ne s’y ennuie pas une seconde et le personnage de Quint est très attachant. Avec son visage poupin, son air ombrageux à la Brando, ses tenues à franges, Reynolds – étonnamment épilé des pieds à la tête – fait déjà preuve d’une vraie présence de star en devenir. Pour qui l’a vu jouer les cascadeurs dans « LA FUREUR DU DANGER » quinze ans plus tard, il est très drôle de le voir doublé plusieurs fois au cours de l’épisode par des ‘stuntmen’ qui ne lui ressemblent ni de près ni de loin. L’acteur a une excellente scène avec Harry Carey, Jr. qui joue un fermier prisonnier qu'il est chargé d’égorger pour prouver à la tribu qu'il est toujours des leurs.

À noter que pour les autres épisodes dans lesquels apparut le personnage, Quint sera le forgeron de la ville, ce qui lui permettra d’exhiber régulièrement son torse athlétique.

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22 janvier 2012 7 22 /01 /janvier /2012 10:49

« ESCAPE TO SONOITA » est un épisode de la 5ème saison de la série « ALFRED HITCHCOCK PRÉSENTE », réalisé par Stuart Rosenberg (« LUKE LA MAIN FROIDE ») et qui offre un de ses premiers rôles principaux à Burt Reynolds.

Celui-ci joue un routier qui traverse le désert avec son vieux père (James Bell) et dont le camion tombe en panne. Ils croisent la route de deux malfrats (Murray Hamilton et Harry Dean Stanton) qui viennent de prendre une jeune femme en otage. Les crapules dérobent les réserves d’eau et prennent la fuite, laissant les autres mourir de soif. Mais le vieux camionneur est rusé : il parvient à appeler du secours et n’a pas donné une info importante aux malfaisants. À l’arrière de son engin se trouve une énorme citerne d’eau ! Et les deux crétins se seront finalement entretués pour quelques gouttes.

HITCH reynolds

L’épisode est bien mené, filmé en studio, et bénéficie d’un joli casting : Reynolds très à l’aise en p’tit gars impulsif et râleur, Hamilton visqueux à souhait en voyou sadique en costard-cravate et Stanton qui pique la vedette à tout ce beau monde dans un personnage d’abruti vicieux.

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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 18:05

OPERATION CIA (1)Burt Reynolds déclara un jour que les films qu'il tourna à ses débuts n’étaient projetés que dans les avions, pour que les spectateurs ne puissent pas s’enfuir.

Un trait d’humour qui prend tout son sens en voyant « OPERATION C.I.A. », réalisé par OPERATION CIA (2)Christian Nyby un téléaste dont le seul vrai titre de gloire est d’avoir signé « LA CHOSE D’UN AUTRE MONDE » réalisé par… Howard Hawks !

On voit très bien ce qui a incité des producteurs à mettre ce film en chantier : le succès des premiers JamesOPERATION CIA Bond. L’espion de Sa Majesté devient un agent de la CIA, l’action se déroule dans un lieu exotique (Saïgon), on y croise des tas de jolies filles. Même l’acteur choisi – Reynolds donc – évoque Sean Connery : même pilosité, même calvitie naissante, physique également athlétique, sourcil expressif. C'est une véritable version U.S. de l’Écossais.

Tourné en noir & blanc (et c'est bien dommage, en l’occurrence !), ce petit film d’espionnage est un véritable pensum. L’action patauge dans des hôtels, des restaurants, OPERATION CIA (3)s’embourbe dans de longues poursuites « touristiques » dans des lieux pittoresques. D'ailleurs, le seul et unique intérêt qu’on peut trouver à « OPERATION C.I.A. » est d’avoir été réellement tourné sur place, ce qui permet de voir le Vietnam tel qu'il était en 1965. Intérêt purement documentaire, précisons-le.

Reynolds promène sa bonne bouille souriante de sportif égaré, assure quelques bagarres assez pathétiques, joue les tombeurs sans conviction et se sort sans trop de dommage de l’aventure. Il faut dire que tous ses partenaires sont d’une nullité indescriptible. Ah ! Le méchant « Viet » joufflu et ricanant à la voix flutée…

Une chose est certaine : en atteignant le vedettariat dans les années 70, Burt Reynolds revenait de loin. De TRÈS loin !

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26 août 2011 5 26 /08 /août /2011 10:49

FBI reynolds« ALL THE STREETS ARE SILENT » est un épisode de la 1ère saison de la série « SUR LA PISTE DU CRIME » (oui, une fois encore, le titre français n'est pas terrible !), une sorte de remake des « INCORRUPTIBLES » remis au goût du jour des sixties.

Le principe de la série est simple : les scénarios s’inspirent de dossiers réels du FBI évidemment romancés, et suivent en parallèle l’enquête des agents spéciaux et les méfaits des méchants voleurs-terroristes-kidnappeurs-braqueurs, etc. jusqu'à leur inévitable capture.

Avec un héros aussi terne et inexpressif qu’Efrem Zimbalist, Jr. engoncé dans son affreux costume gris, les séquences d’investigation sont assez difficiles à regarder aujourd'hui. Cet aspect des choses a beaucoup évolué en 45 ans et la moindre série actuelle est infiniment FBI reynolds (1)plus passionnante et élaborée. Par contre, on peut suivre avec plaisir l’histoire des ‘guests’ généralement plus prenante. Ici, le FBI enrôle de force James Farentino, un ex-boxeur de San Diego devenu taxi, pour devenir un ‘indic’, afin de retrouver une bande menée par Joe Maross et son frère Burt Reynolds, qui ont attaqué un fourgon d’armement et tué deux marines.

Rien d’original, mais un Reynolds juvénile et athlétique, jouant un voyou odieux et sans pitié et un Farentino assez touchant. On aperçoit également quelques tronches familières comme l’aldrichien Wesley Addy et Norman Fell, qui tournera très souvent avec Reynolds par la suite.

Notons une certaine insistance dans la violence : lors de l’attaque du début, le sang gicle carrément comme au cinéma !

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30 juillet 2011 6 30 /07 /juillet /2011 06:17

BEST FRIENDS (1)Le réalisateur de « L’AFFAIRE THOMAS CROWN », un Barry Levinson débutant au scénario, une BO de Michel Legrand : « LES MEILLEURS AMIS » se présente sous de bons auspices et démarre d'ailleurs comme une comédie romantique à l'ancienne, façon Spencer Tracy-Katharine Hepburn, dans un confortable univers hollywoodien dont les héros sont un couple de scénaristes. À partir du moment où lui émet le souhait de se marier et qu'elleBEST FRIENDS l'exauce à contrecœur, le film prend une tournure nettement moins ‘glamour’ et ludique. Les visites successives aux familles – qui occupent l'essentiel du film – sont un retour aux réalités de l'existence hors de L.A. : la misère affective, la vieillesse, la médiocrité. Le plan où Goldie Hawn voit son mari avoir exactement les mêmes gestes que son beauf de père au petit-déj, pourrait être cocasse, il n'est que cafardeux : une vision inéluctable de son propre avenir !

Subtilement, le film passe ainsi de la comédie enjouée à la chronique douce-amère, pour finir dans une violente engueulade entre époux, qui en viennent aux mains. Burt Reynolds se montre d'ailleurs remarquable dans ce jeu de la métamorphose des sentiments. Là, on ne rit plus du tout et la ‘happy end’ de rigueur ne trompera personne.

« LES MEILLEURS AMIS » est un film abrasif sur le couple, qui refuse l'optimisme sympathique d'un « QUAND HARRY RENCONTRE SALLY… ». Un film longuet (presque deux heures impliquant automatiquement pas mal de baisses de régime) mais intelligent. Parmi les seconds rôles, les vétérans Jessica Tandy et Keenan Wynn et Ron Silver formidable en producer vulgaire et indélicat.

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9 juillet 2011 6 09 /07 /juillet /2011 05:34

END (2)Au départ de « SUICIDEZ-MOI, DOCTEUR ! » (encore un chef-d’œuvre du titre français !), une (a priori) bonne idée de comédie noire axée sur la mort annoncée du protagoniste atteint d’un cancer. Un premier tiers un peu lent, mais souvent drôle et porté par le charisme en autodérision de Burt Reynolds qui se filme avec complaisance, abuse de END (3)ses rires de dindon et laisse à peine vivre d'excellentes comédiennes comme Joanne Woodward ou Sally Field, qui neEND font hélas, que lui servir docilement la soupe.

Puis tout part en quenouille. Après sa tentative de suicide ratée, Sonny se retrouve en HP et subitement, on dirait que le film échappe à son auteur : Reynolds s'efface derrière le gros comique Dom DeLuise, qui devient le centre d'intérêt du film, dans un rôle de schizo hystérique. Ce qui était une comédie douce-amère devient alors une hénaurme pantalonnade visiblement improvisée, enchaînant les numéros de cabotinage exaspérants, END (1)les bagarres clownesques, les cascades mollassonnes, sur une trame lointainement inspirée des « TRIBULATIONS D'UN CHINOIS EN CHINE » : bref, la débandade totale.

Dommage, car il y avait çà et là quelques idées, comme le personnage de ce prêtre débutant et pré-pubère, et surtout la tentative de noyade sur une voix ‘off’ très bien écrite de Reynolds, qui prie Dieu de l'aider à regagner la côte en échange de 50% de tout ce qu'il gagnera. Puis au fur et à mesure qu'il approche et reprend espoir, baisse à 10%, puis… à rien du tout. Très joli moment qui donne le « la » de ce qu’aurait pu/dû être le film tout entier. Mais en l’état « THE END » (c'est tout de suite mieux !) n'est qu'un essai avorté, une fausse bonne idée piteusement bâclée. Dommage, pour le coup…

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27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 14:44

SAMWHISKY2Tourné alors que Burt Reynolds commençait doucement à émerger comme une vedette potentielle, « SAM WHISKY LE DUR » est une gentille pochade qui a tout duSAM WHISKY (3) téléfilm lambda, hormis un humour parfois égrillard et une certaine amoralité encore prohibés au petit écran en cette fin des sixties. Burt, aventurier décontracté, est engagé par Angie Dickinson pour retrouver des lingots d’or et les remettre dans un coffre (les tenants et aboutissants du scénario sont bien trop alambiqués et laborieux pour être exposés ici !). Il s’associe à un Géo Trouvetout pacifique joué par le géant Clint Walker et un forgeron noir campé parSAM WHISKY l’excellentissime Ossie Davis.

Le film suit à un rythme pépère leurs molles tribulations, jusqu'à ce hold-up à l’envers qui s’éternise et endort le spectateur pourtant peu SAM WHISKY (1)exigeant. En fait, on dirait une des comédies westerniennes de Burt Kennedy, en moins bien réalisé et scénarisée avec une paresse inouïe. S’il y a un charme à trouver là-dedans, ce sera dans l’alchimie réelle existant entre les trois vedettes masculines très complices : Reynolds parfaitement à l’aise dans son personnage déjà bien au point d’escroc rigolard, Walker très inattendu, citant Platon et Socrate et Davis presqu’aussi drôle qu'il le fut dans « LES CHASSEURS DE SCALPS ». Angie elle, traverse élégamment l’aventure, en nympho à côté de ses pompes.

On regardera donc « SAM WHISKY LE DUR » (encore bravo à ceux qui trouvaient les titres français des westerns) avec une indifférence bienveillante, en se disant que tout le monde semble s’être bien amusé pendant le tournage. On aurait aimé en dire autant…

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2 avril 2011 6 02 /04 /avril /2011 12:29

MSQUAD reynolds (1)Lee Marvin fut la grande icône du film d’action des sixties, Burt Reynolds fut une des figures prédominantes du genre lors de la décade suivante. Mais ils ne sont jamais apparus ensemble dans un film, ce qui peut sembler regrettable. En fait, la seule façon de les voir côte à côte sur la même image est un épisode de la 2ème saison de « M-SQUAD » intitulé « THE TEACHER », réalisé par l’efficace Don Medford. Épisode qui marque d'ailleurs les débuts professionnels du cadet à l’écran.

Très nettement inspiré par le succès de « GRAINE DE VIOLENCE » de Richard Brooks, l’épisode se situe dans un lycée technique dirigé par un brave homme, qui a maille à partir avec un gang formé par quelques élèves rackettant les plus faibles. Le prof sera défénestré par le petit caïd et le lieutenant Ballinger devra compter sur Reynolds, un ancien du gang, pour démasquer l’assassin et prouver que l'homme ne s’est pas suicidé.

MSQUAD reynolds

« THE TEACHER » ne manque pas d’intérêt. Le vilain loubard est joué par Tom Laughlin qui marqua lui aussi les seventies avec « BILLY JACK ». Son jeu est très marqué par l’Actors Studio et James Dean en particulier, alors que Reynolds lui, calque ses maniérismes sur ceux de Brando à qui il ressemble physiquement. Face à leurs excès juvéniles, Marvin garde le masque imperturbable et blasé du vieux pro qu'il était déjà à 35 ans.

À noter pour la petite histoire, que John Boorman avait écrit le rôle de Lewis de « DÉLIVRANCE » pour Marvin qui considéra qu'il avait passé l’âge. Et qui en hérita ? Burt Reynolds !

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25 février 2011 5 25 /02 /février /2011 07:21

FUZZInspiré des romans d’Ed McBain, « LES POULETS » est une chronique de la vie d’un commissariat pourri de New York, peuplé de flics incompétents et bordéliques confrontésFUZZ (1) au quotidien absurde et sordide d’une population bigarrée. Le FUZZ (3)film annonce des séries TV comme « HILL STREET BLUES » ou « NYPD BLUE » et s’avère une assez jolie réussite.

Le scénario est bâti en spirale infernale, en mosaïque apparemment désordonnée qui trouve une sorte de logique démentielle lors de son dénouement. Nos flicards finiront par « résoudre » leur enquête bien sûr, mais par pure coïncidence, presque malgré eux. C'est tout le charme et l’intérêt de ce polar iconoclaste, ou tout le monde parle en même temps, où les gens ne font que se croiser sans jamais s’écouter. On retrouve un peu de la méthode de Robert Altman et de son récent « M*A*S*H* », dans cette sensation de foisonnement, d’impro permanente et même par la présence de Tom Skerritt qui fut un des médecins du film.

En tête d’affiche, Burt Reynolds n’a pas réellement le premier rôle : il est au cœur d’une FUZZ (2)distribution chorale très homogène. Skerritt donc, sort particulièrement du rang en inspecteur chaud-lapin au sourire de voyou, Raquel Welch est très bien en fliquette novice et sérieuse. Yul Brynner est assez inattendu en malfrat malentendant. Sa méthode de chantage n’est d'ailleurs pas sans évoquer celle de Scorpio dans « L’INSPECTEUR HARRY » (elle-même inspirée de l’histoire vraie du ‘Zodiac killer’).

Proprement réalisé dans la veine des films policiers réalistes des seventies, « LES POULETS » est encore tout à fait recommandable, car son concept-même a depuis fait des petits. Sa construction éclatée lui donne aujourd'hui un étonnant coup de jeune.

FUZZ (4)

À noter la « présence » en creux de Steve McQueen : on aperçoit son ex-femme Neile Adams jouant l’épouse sourde-muette de Reynolds et son meilleur pote Don Gordon en braqueur ringard.

 

À NOTER : le film est sorti il y a quelques années en zone 1, dans une bonne copie au format respecté mais en 4/3, avec des sous-titres français.

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