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29 décembre 2012 6 29 /12 /décembre /2012 10:25

Fils de la star western du Muet, Harry Carey, Jr. vient de mourir à l’âge de 92 ans. Il était le dernier survivant de la ‘stock company’ de John Ford qui l’avait bien souvent utilisé dans des rôles de soldats, de timides, de victimes.

CAREY

Carey, qu’on surnommait ‘Dobe’ avait tourné 150 films et téléfilms, avait même tâté du ‘spaghetti western’ aux côtés de Terence Hill.

Une grande mais modeste figure du vieil Hollywood qui disparaît. R.I.P.

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29 décembre 2012 6 29 /12 /décembre /2012 09:38

CB AVENGER (4)Que ce soit en Europe ou quelques années plus tard aux U.S.A., la mystique de star de Charles Bronson fut définie par une seule et même thématique : la vengeance. Dans « IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L’OUEST », c'est même sa seule raison d’être. Il n’a pas de passé, hormis un évènement traumatique, pas de futur, il n’a même pas de nom. Son seul etCB AVENGER unique but est de détruire l'homme qui assassina son frère, puis de disparaître dans le paysage.

Son succès américain dans « UN JUSTICIER DANS LA VILLE » est similaire mais à plus grande échelle : citoyen lambda, Bronson prend les armes pour éradiquer les délinquants new-yorkais. Il ne retrouve pas les vrais assassins de sa famille, mais se venge de façon plus globale. Dieu reconnaîtra les siens ! Cette logique sera poussée jusqu'au burlesque dans les diverses suites.

Mais si elles sont les plus connues, ces vendettas Bronsoniennes ne sont pas les seules de sa filmographie. Dans « LE CAVALIER TRAQUÉ », il a juré de rendre la monnaie de sa pièce à Randolph Scott qui l’avait laissé mourir en plein désert. Dans « CHASSE AU GANG », il va tuer à mains nues l’indic qui l’avait balancé aux flics. Dans « 4 DU TEXAS », il en veut à Frankie & Dino CB AVENGER (1)jusqu'à l’obsession. Dans « CITÉ DE LA VIOLENCE », il ira jusqu'à abattre la femme qu'il aime et qui l’a trahi. Dans « SOLEIL ROUGE », il veut certes récupérer son butin, mais surtout se venger de son lieutenant qui l’a doublé.

La vengeance est au cœur même des « COLLINES DE LA TERREUR », où Bronson comme chez Leone, n’est plus qu’une vendetta sur pattes. La ‘tagline’ de l’affiche françaiseCB AVENGER (3) était d'ailleurs tout à fait explicite : « BRONSON… IL TUE POUR SE VENGER ».

Dans « MISTER MAJESTYK », il s’attaque aux gangsters pour venger son copain blessé mais aussi sa récolte de pastèques ruinée à la mitraillette. À la fin de « AVEC LES COMPLIMENTS DE CHARLIE », il oublie qu'il est flic pour venger sa belle. Dans « L’ENFER DE LA VIOLENCE », c'est pour venger un ami journaliste torturé à mort, qu'il sort de sa retraite.

Bronson fut aussi mono-orienté dans ses rôles dans « HAVE GUN – WILL TRAVEL » où il veut tuer sa femme, « LE VIRGINIEN » où il rêve de venger son jeune frère, « LES INCORRUPTIBLES » où il en veut à mort au clan gitan qui assassina son père.

À noter qu'il fut lui aussi la cible de quelques vengeances dans « LE CALIFORNIEN », « DE LA PART DES COPAINS », « LA LOI DE MURPHY » et qu'il en fut même un jouet entre les mains d’un manipulateur dans « QUELQU’UN DERRIÈRE LA PORTE ».

Bizarrement, « ACT OF VENGEANCE », le seul film contenant le mot dans son titre n’a aucun rapport avec la thématique !

Bref, pour résumer : Don’t fuck with Charley !

CB AVENGER (2)

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28 décembre 2012 5 28 /12 /décembre /2012 16:19

Il faut être fou ou inconscient pour vouloir passer après « L’EXORCISTE », le traumatisant chef-d’œuvre tant plagié et jamais égalé de William Friedkin. Mais tant d’années se sont écoulées, qu’on finit par se dire qu’après tout, une nouvelle histoire de possession démoniaque, pourquoi pas ?

« LE RITE » commence d'ailleurs très bien. Belle ambiance morbide de ce ‘funeral home’, RITEprésence inquiétante de Rutger Hauer en croque-mort pas très net, très flippante BO signée Alex Heffes, dépaysante arrivée au Vatican. Mais avec l’apparition d’Anthony Hopkins en vieux prêtre exorciste entouré de matous, les choses commencent à prendre une autre tournure. On a tellement vu le vieil acteur dans des personnages diaboliques, pervers ou fous à lier, qu’on sait – qu’on attend ! – qu'il soit à son tour possédé par le Démon, pour en avoir pour notre argent. Et quand cela arrive enfin (non vraiment, ce n’est pas un ‘spoiler’ !), on a droit à un festival : le brave papy gallois se transforme en une sorte de fils caché d’Hannibal Lecter et de Pazuzu. Et le film sombre dans les clichés usés jusqu'à la corde : portes qui claquent, rugissements de fauves, têtes qui tournent, injures en latin et en grec ancien, etc. Ne pouvant tout de même pas aller jusqu'à réutiliser les jets de bile, les auteurs y font une plate allusion en forme de clin d’œil.

Dommage oui, que « LE RITE » se réduise dans sa seconde moitié à une propagande catholique et délaisse l’ambiguïté qui faisait tout l’intérêt du début du film. Car pour peu qu’on se sente un peu rieur, on décroche complètement et on s'esclaffe de bon cœur au cabotinage éhonté de Sir Hopkins qui avale tout cru son jeune partenaire. Pour finir sur une note plus positive, disons qu'il ne s’agit pas là un nanar irregardable. C'est bien filmé, la bande-son est soignée et si on n’a pas peur une seconde, si à peu près tous les effets horrifiques tombent à plat, on passe deux heures inoffensives. Une façon comme une autre de tuer le temps. Pas plus, mais pas moins…

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28 décembre 2012 5 28 /12 /décembre /2012 05:43

La grande, l’inoxydable, la drôlissime, la surprenante Maggie Smith vient de connaître un regain de popularité avec la série « DOWNTON ABBEY », après avoir débuté à l’écran au milieu des années 50.

On ne compte plus ses grands rôles classiques, ses personnages finement ciselés comme dans « GUÊPIER POUR TROIS ABEILLES », « LES BELLES ANNÉES DE MISS BRODIE », « CALIFORNIA HÔTEL », son professeur dans la ‘franchise’ des « HARRY POTTER » ou sa vieille dame indigne dans le récent « INDIAN PALACE ».

Aujourd'hui, elle fête ses 78 ans. Happy birthday, Lady.

MAGGIE S

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27 décembre 2012 4 27 /12 /décembre /2012 18:11

5 MEN ARMYTant qu’à piocher dans les œuvres d’autrui, autant aller chercher parmi les meilleurs. C'est 5 MEN ARMY (2)ce qu’ont dû se dire les auteurs de « 5 HOMMES ARMÉS », un western ‘Zapata’ cosigné par Dario Argento.

Le générique-début, montrant des photos authentiques de la ‘revolución’ sur une BO5 MEN ARMY (3) endiablée d’Ennio Morricone est encourageant.

Le premier tiers plagie allègrement « LES 7 MERCE-NAIRES » (le recrutement des gunmen, le lanceur de couteaux) et « LES PROFES-SIONNELS » (le dynamiteur, le contexte général) et la présence de Peter Graves alors héros de la série « MISSION : IMPOSSIBLE » renforce la sensation qu’on regarde un épisode « spaghettisé » du show de Bruce Geller. Hélas, on se rend vite compte que le scénario n’est pas suffisamment écrit pour tenir sur la durée et que les péripéties sont plaquées, dérivatives, comme improvisées au jour le jour. Quant au détournement du train, censé être le morceau de bravoure du film, il s’éternise au-delà du supportable. La fin, truffée de trahisons, de voltefaces et de bonne énergie 5 MEN ARMY (1)arrive un peu tard pour sauver les meubles.

Sans être une catastrophe, « 5 HOMMES ARMÉS » n’arrive pas à la cheville de ses modèles et dilue sa maigre idée de départ en un long pensum dont les protagonistes peinent à exister vraiment. Si Graves traverse tout cela en touriste, l’air absent, comme un ‘Jim Phelps’ en villégiature, Bud Spencer est toujours pittoresque en Obélix morfal et crasseux et Tetsurô Tanba vole aisément la vedette à tout le monde – sans une ligne de dialogue ! – en samouraï exilé. La longue séquence où il court derrière le train pour le rattraper est probablement ce qu'il y a de plus réussi dans le film.

À noter que le réalisateur Don Taylor – également acteur de second plan – n’est apparemment là que comme prête-nom, le film étant en fait tourné par l’italien Italo Zingarelli. Encore un mystère des copros multinationales !

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27 décembre 2012 4 27 /12 /décembre /2012 07:49

4 MORNING (2)Dans la veine réaliste du cinéma anglais des sixties, marqué par une influence « antonionienne », « FOUR IN THE MORNING » suit les premières heures de l’aube de trois femmes : l’une est retrouvée morte noyée et transportée à la morgue, la seconde rencontre un homme qui tente de la séduire, la dernière est une femme au foyer rendue4 MORNING (1) folle par les hurlements de son bébé et laissée seule par son mari parti boire avec un copain. Les hommes aussi sont scrutés en filigrane : dragueur insistant et taiseux ou vieux potes à la relation puérile, teintée d’homosexualité latente.

Il ne se passe pas grand-chose en réalité. Mais la BO de John Barry laisse planer une sensation de mauvais présage pendant 90 minutes et les trois récits évoluant indépendamment les uns des autres, on finit par se demander si la noyée se serait pas en fait, une des deux autres. Cela crée une réelle tension tout au long du film et maintient l’intérêt, malgré l’extrême minceur du scénario.

Il faut dire aussi que, comme c'est souvent le cas en Angleterre, les comédiens sont uniformément 4 MORNINGremarquables, à commencer par Judi Dench, émouvante dans le rôle de cette jeune maman étouffant dans son univers confiné et poussant un dérisoire cri de révolte avant d’accepter son destin. Ann Lynn est également excellente en paumée incapable de gérer sa relation avec un inconnu qui la désire sans l’aimer.

On suit donc en parallèle le possible début d’un amour, la probable fin d’un mariage, sans qu’on voie tout de suite le rapport. Mais quand à la fin, le tiroir de la morgue se referme sur l’inconnue, on croit comprendre ce qu’ont voulu dire les auteurs sur la condition féminine. Et ce n’est pas bien joyeux !

Un cinéma exigeant, soigneusement filmé et photographié, parfois un peu trop chichiteux pour son propre bien, mais qui captive sur des petits riens et laisse des images imprimées dans la mémoire.

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27 décembre 2012 4 27 /12 /décembre /2012 06:07

On parle beaucoup de lui, ces dernières semaines et pas forcément pour de bonnes raisons. Sa boulimie de travail est légendaire, sa personnalité a été disséquée par des dizaines d’ouvrages, tout le monde semble avoir quelque chose à dire sur lui. Gérard Depardieu va bientôt atteindre les 200 films au compteur et peu ont été discutés sur « WWW ».

Au fait, que retenir de cette filmo hypertrophiée et schizophrénique ? Subjectivement, nous citerons « LES VALSEUSES », « LE SUCRE », « LE CHOIX DES ARMES », « URANUS » et plus récemment le sursaut que fut « MAMMUTH ». Pas beaucoup donc, mais que du bon. C'est un peu comme pour Belmondo : chacun son Gégé.

Quoi qu’il en soit, quoi qu’on pense de l'homme, de ses choix, de sa façon de jouer, il fête aujourd'hui ses 64 ans. Happy birthday, donc.

GG

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26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 16:29

LIFE BALANCE (2)-copie-1Inspiré d’un roman de Georges Simenon, « A LIFE IN THE BALANCE » est une coproduction américano-mexicaine tournée en extérieurs à Mexico. C'est un petit suspense en noir & blanc, concentré sur une seule nuit : un musicien sans le sou (Ricardo Montalban) est soupçonné d’avoir assassiné plusieurs femmes. Mais son fils le petit Paco, a repéré le tueur en série (Lee Marvin) et le piste à travers la ville, laissant des indices aux policiers, afin d’innocenter son père.

L’idée est ingénieuse, mais le film, s’il ne manque pas de charme, peine à décoller et à passionner vraiment. Le dialogue est lourd et moralisateur, les personnages sont tout d’unLIFE BALANCE (1)-copie-1 bloc et la love story entre Montalban et Anne Bancroft (qui joue une Mexicaine !) n’est guère crédible. D'ailleurs, hormis Marvin, tout le monde joue des « locaux » et parle un parfait… anglais. Ce qui n’aide évidemment pas à s’immerger dans l’action. Éternel problème de langage des copros !

Reste qu’un film où Lee Marvin joue un serial killer ne peut pas être complètement mauvais. Sorte de monstre de Frankenstein sans les boulons, le tueur est singulièrement inquiétant. Il se prend pour « la colère de Dieu » et cherche à se rapprocher du gamin qu'il prend en otage. Par quelques touches assez subtiles, Marvin donne vie à ce personnage anonyme et le rend même pathétique. Ce tueur de femmes œuvrant au cran d’arrêt apparaît soudainement comme un vieil enfant égaré, hanté par de terribles démons. Il faut l’avoir vu à l’Église, prier les yeux fermés ou supplier le petit garçon d’être son ami.

Bien sûr, on aurait aimé voir un peu moins Montalban et beaucoup plus Marvin au cours du film, mais ce dernier trouve tout de même l’occasion de moments mémorables et de gros-plans sur son visage en sueur, tourmenté, très frappants.

Bancroft dans la période la moins faste de sa grande carrière, n’a pas grand-chose à faire, Rodolfo Acosta est très bien en flic bienveillant.

LIFE BALANCE-copie-1

Un suspense ramassé et dépaysant, qui aurait certainement gagné à être moins bavard et à perdre moins de temps en scènes mélodramatiques et en justifications inutiles.

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26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 09:02

« TERREUR SUR LE BRITANNIC », c'est la réponse du cinéma anglais aux films-catastrophe américains alors très en vogue. Une sorte de nouvelle aventure du Poséidon sans naufrage, sans grosse star, sans exploit, concentré sur un suspense traditionnel : les sept JUGGERNAUTbombes à bord d’un paquebot de plaisance vont-elles exploser ? Autre différence essentielle : contrairement aux productions U.S., ce film-là est tourné en décors naturels, souvent en pleine mer, ce qui constitue d'ailleurs un de ses intérêts principaux.

Le premier tiers est assez brillant, extrêmement bien monté. Richard Lester parvient à faire exister une multitude de personnages en quelques touches, à immiscer des clins d’œil acidulés sur la société anglaise, à décrire intelligemment son décor. Et puis quand l’action démarre vraiment, rien ne va plus. Les « comme par hasard » du scénario irritent d’emblée : le flic Anthony Hopkins qui enquête sur le terroriste a JUSTEMENT  sa famille à bord du JUGGERNAUT (1)navire ! Les historiettes parallèles sont ineptes (la relation entre le capitaine Omar Sharif et une passagère désabusée jouée par Shirley Knight) et Lester paraît plus intéressé par le personnage de Roy Kinnear, l’entertainer de bord, que par les rôles principaux qui se traînent, désœuvrés.

Petit à petit, la narration se resserre sur Richard Harris, le démineur parachuté à bord et sur son face à face avec… un baril piégé qu'il doit désamorcer. Doit-il couper le fil bleu ou le rouge ? Sa grande scène de soûlerie dans la cabine de Sharif semble rajoutée à posteriori pour donner un tant soit peu de chair à son personnage.

La dernière partie de « TERREUR SUR LE BRITANNIC » s’avère être une épreuve, alors que le film aurait dû s’achever en ‘climax’. Les monologues de Harris exaspèrent, le masque impassible de Sharif énerve, l’enquête policière à Londres piétine mollement. Bref, qu’on aime ou pas ce genre de film, il semble clair qu’Hollywood est plus apte à les produire que la Grande-Bretagne. La tentative de Lester est louable, mais apparemment, certains films ont besoin d’être cimentés de bons vieux clichés. CQFD.

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26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 06:05

PRIDE YANKEES« VAINQUEUR DU DESTIN » est un des rôles les plus populaires de Gary Cooper aux U.S.A., celui du joueur de baseball Lou Gehrig qui connut une carrière fulgurante avant de mourir prématurément à l’âge de 37 ans.

Qu'est-ce qu’une telle hagiographie béate peut bien évoquer auprès d’un public non-PRIDE YANKEES (1)américain ? Pas grand-chose, il faut bien le reconnaître. D’autant que le scénario est une suite d’images d’Épinal, de saynètes édifiantes sur la vie familiale et maritale du champion, entrecoupées de matches (heureusement et étonnamment pas trop longs). Bêtifiant, très certainement édulcoré, le film est par contre très beau à regarder, le noir & blanc de Rudolph Maté est magnifique et les décors sont bien choisis. Et puis il y a ‘Coop’. Car, qu’on connaisse le vrai Gehrig ou pas, il est de toute façon très clair que l’acteur ne l’incarne pas vraiment. Cooper joue Cooper en train de jouer Gehrig. Nuance essentielle ! C'est un festival de mimiques familières, de battements de cils timides, de sourires enfantins qu’on retrouve avec un plaisir toujours égal. L'homme a un tel métier, un charisme si naturel, qu'il parvient à être presque plausible au début du film en étudiant de 18 ans, alors qu'il en a déjà 42. Dans le dernier quart du film, Cooper délaisse ses tics et ses trucs et se montre émouvant et sincère. Son célèbre discours final au Yankee Stadium est saisissant.

Teresa Wright est un brin irritante dans le rôle de sa parfaite épouse, minaudant sans retenue. On reconnaît des partenaires familiers de Cooper comme Walter Brennan en attaché de presse et Dan Duryea en journaleux teigneux. La grosse Elsa Janssen et le petit Ludwig Stössel jouant les parents Gehrig semblent échappés d’un dessin de Dubout.

PRIDE YANKEES (2)

Ce ‘biopic’ ripoliné et tout de même un peu trop aseptisé (l'homme n’a strictement AUCUN défaut ! C'est un saint, un samaritain), se laisse suivre sans déplaisir. Oui décidément, pour nous faire avaler un pudding pareil, ‘Coop’ avait vraiment du génie !

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